So many blogs so little time

There has been an inundation of swell posts by the usual suspects but also by some relative newcomers.

A survey:

I had been wild about The Five Obstructions, I had loved Water Drops on Burning Rocks (I recently posted a clip of it) and The Pornographer and Porcile have been on my to-see-list for some time. Wet Street’s reviews are well written and imaginative. Recommendation to film buffs: subscribe.

3 thoughts on “So many blogs so little time

  1. HarryTuttle

    Hey I hadn’t noticed but there is a cycle on Bouyxou at the Cinémathèque in Paris at the moment. With links to essays on him and the retrospective in his presence.
    I thought maybe you’d like to know about it.
    When I saw his name (which I didn’t know) I remembered seing it mentionned on your blog. 😉

    Thanks Harry, of great interest indeed. I quote from the Cinémathèque article:

    Il n’a pas dédié son film à la mémoire d’André Bazin (Graphity, 1969). Il a filmé Pierre Molinier en mannequin vampirique (Satan bouche un coin, 1968). Il a réalisé des films pornos subversifs (Amours collectives, 1976). Il transgresse 24 lois par seconde dans son Cinématon (n° 288, 1983). Il ne respecte même pas les formes sacrées de la modernité : quand il s’attaque au readymade, il lui colle un générique de 10 minutes ! (Sortez vos culs de ma commode, 1972). Il a joué dans Désirs et perversions, Remplissez-moi les 3 trous, Discosex, Les Avaleuses, Elie Faure, Vélasquez et les Ménines. Il a creusé un canal souterrain pour raccorder l’underground bordelais et les tranchées belges, d’où il tire à boulets rouges et noirs depuis une quarantaine d’années. On le voit dans les films de Roland Lethem, d’Etienne O’Leary, de Philipe Bordier, de Michel Auder, de Jess Franco, de Jean Rollin, de David McNeil. Il valorise ainsi son œuvre : “Nos films voulaient être aux films traditionnels ce que les graffitis de chiotte sont à la grande littérature”. Chez lui l’excitation sexuelle est la seule excuse possible pour l’art, et le pulsionnel le stade suprême de l’érudition.

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